LIEU : Paris - France
PROGRAMME : Architecture d'intérieur et mobilier sur mesure
DATE : 2004
Au dernier étage d’un bâtiment du 11ème arrondissement à Paris, un appartement virtuellement libre de toute cloison, un espace loft, est le résultat d’une réunification de la totalité des chambres de bonne qui occupaient à l’origine cet étage.
Une fois l’espace libéré et révélé, le projet devient une étude sur les relations entre le mouvement physique, dans le sens de la longueur depuis l’entrée et jusqu’à la chambre du fond, et le mouvement psychologique, celui enduit par le série de fenêtres s’ouvrant symétriquement à gauche et à droite en séquence en se déplaçant depuis l’entrée.
Dans l’exploration de cette dialectique la configuration de l’espace, symétrique dans sa largeur par rapport au faitage central du plafond, favorise le doute, la découverte.
En profitant de cette symétrie les aménagements traversant les deux chambres prévoient une paroi coulissante dans l’axe de symétrie qui, une fois ouverte, semble découvrir un miroir alors qu’il ne s’agit que d’une illusion optique.
Le mouvement physique instinctivement s’arrête, empêché par le reflexe psychologique mené à l’erreur par le miroir.
L’ensemble des aménagements sur mesure ainsi que les détails sont travaillés pour explorer l’idée de mouvement.
PROGRAMME : Architecture d'intérieur et mobilier sur mesure
DATE : 2004
Au dernier étage d’un bâtiment du 11ème arrondissement à Paris, un appartement virtuellement libre de toute cloison, un espace loft, est le résultat d’une réunification de la totalité des chambres de bonne qui occupaient à l’origine cet étage.
Une fois l’espace libéré et révélé, le projet devient une étude sur les relations entre le mouvement physique, dans le sens de la longueur depuis l’entrée et jusqu’à la chambre du fond, et le mouvement psychologique, celui enduit par le série de fenêtres s’ouvrant symétriquement à gauche et à droite en séquence en se déplaçant depuis l’entrée.
Dans l’exploration de cette dialectique la configuration de l’espace, symétrique dans sa largeur par rapport au faitage central du plafond, favorise le doute, la découverte.
En profitant de cette symétrie les aménagements traversant les deux chambres prévoient une paroi coulissante dans l’axe de symétrie qui, une fois ouverte, semble découvrir un miroir alors qu’il ne s’agit que d’une illusion optique.
Le mouvement physique instinctivement s’arrête, empêché par le reflexe psychologique mené à l’erreur par le miroir.
L’ensemble des aménagements sur mesure ainsi que les détails sont travaillés pour explorer l’idée de mouvement.
MAITRE D'OUVRAGE :
Privé
MAITRISE D’ŒUVRE :
Pier Luigi Copat
Privé
MAITRISE D’ŒUVRE :
Pier Luigi Copat